samedi 26 novembre 2011

On aime bien

aller au 104...
Il fait bon et il règne la bonne humeur...
Les gens de l'encadrement sont bien agréables dans ce petit coin de Paris limitrophe de la banlieue...
Où pour certain ça craint un max, passé le 17éme....
Depuis un moment nous voulions donc faire cette petite expos:"in perceptions"...
Nous ne regrettons pas malgré l'attente sur chaque stand, nous avons bien rigolé...


Premier artiste:LEANDRO ERLICH,
Les créations de Leandro Erlich, quasi-architecturales jouent avec les miroirs, les doubles fonds et les effets de trompe-l’œil pour modifier les perceptions de la réalité et créer des espaces insolites. L’artiste argentin détourne ainsi les éléments banals du cadre urbain pour agir sur l’inconscient du public et happer les passants. La fascination pour l’infini que ses œuvres engendrent donne à celles-ci une dimension spectaculaire, tandis que les multiples possibilités de participation du spectateur les rendent ludiques. Il s’agit alors de véritables expériences collectives.


Bâtiment / HALLE AUBERVILLIERS: Créée pour la Nuit Blanche parisienne de 2004, cette œuvre monumentale et vertigineuse joue sur un effet de miroir qui donne l’impression que le bâtiment réfléchi est en position verticale. Le public est invité à marcher sur l’œuvre, à s’y accrocher. Il a ainsi le sentiment d’y « grimper » sans effort, ignorant les lois de la gravité.

Changing Rooms (re-création) / ATELIER 3:Voici la copie d’un environnement familier, faisant partie de notre vie quotidienne. Mais une fois entré dans la cabine d’essayage, le visiteur voit se brouiller les frontières entre la réalité et les représentations, et se trouve projeté dans un espace étrange dont les paramètres auraient été modifiés. Les perceptions du monde réel du visiteur sont ainsi transformées.


Second artiste: ANN VERONICA JANSSENS
Avec une grande économie de moyens (fluides impalpables, gaz, ondes sonores et lumineuses, éléments aqueux), le travail de la plasticienne, d’origine britannique mais travaillant à Bruxelles, Ann Veronica Janssens ne montre rien mais incite le visiteur à voir : ses installations l’immergent dans des brouillards artificiels et colorés qui remettent en question leurs habitudes en matière de perception et d’orientation. Son œuvre défie l’échelle du temps et de l’espace, lutte contre la tyrannie des objets, et poursuit la longue tradition de l’histoire de l’art, selon laquelle l’artiste véhicule les dernières découvertes scientifiques et procure ces moments sublimes et oniriques aux 

visiteurs.104.0.2 - titre provisoire - (création) / ATELIER 0 et 2: C’est à une toute nouvelle installation que nous convie Ann Veronica Janssens. Mieux, une double installation. Tout d’abord, le visiteur accède à une grande salle blanche, baignée par une source de lumière qui semble jouer avec un brouillard dense. À partir de l’intérieur, comme une issue pour échapper à l’intensité du brouillard traversé, un brouillard coloré se présente et invite à une autre expérience. Nouvelle sensation où la situation est imperceptiblement modifiée, la lumière artificielle se confond avec la lumière naturelle, déformant la géométrie d’un autre espace introuvable. Perdu, le visiteur a pour seul repère les quelques autres, entendus, aperçus. Il a alors peu de choix, partir à la recherche d’une issue ou se promener en quête de nouveaux paysages. L’imagination est activée, libre d’inventer un nouveau temps et de nouveaux espaces, oscillante entre les origines d’un monde à moins que ce ne soit celui, de la fin des mondes.
Sur cette toute dernière maman n'était pas à l'aise en entrant et puis au final c'est passé, mais impossible de voir à 1mètre!! nous nous imaginions comme sur un nuage, ou comme lorsque l'avion passe entre les nuages!Amusant!!!




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